Nouvelle Lune
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 Nouvelle candidature

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Tsiry




Messages : 16
Date d'inscription : 27/01/2011

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MessageSujet: Nouvelle candidature    Nouvelle candidature  I_icon_minitimeLun 22 Aoû - 3:12

-Maman, quand est ce qu'on arrive?
-Bientôt Fenrir-l, bientôt, me répondit ma mère.
Ca faisait sept jours que nous étions sur les plaines de la roche. Sept jours d'ennui, ou la seule distraction était de regarder le paysage passer, j'aurais bien taquinée quelques blops ou fait la course aux kanigrous si mon père ne me l’avait formilment interdit.
Mais bientôt nous serions arrivés.
Nous, ma famille et presque tous les hommes, femmes, enfants de mon village étions partis sur les routes de la roche.
Cela aurait pu faire beaucoup de monde, mais nous étions si peu dans ce petit village oublié. Et la troupe ne comptait qu'une petite dizaine de chariots.
Trois heures plus tard la ville de Bonta brandissait ses imposantes murailles devant nous, ses hautes tours se dressaient devant mes yeux extasiés. J'étais assise dans un des premiers chariots de la caravane, tremblante d'excitation. C'était la première fois que je voyais une cité aussi grande, venant d'un petit village isolé dans les fins fonds des plaines koaliques.

Plus petite je regardais souvent mon père et ses compagnons partir à Bonta vendre le fruit de leurs travaux, me ramenant à l'occasion un cadeau- mon père étant cordonnier- pendant que je restais avec ma mère pour tenir la maison. Aussi loin que remontaient mes souvenir, mon père ne faisait jamais appel à ma mère, ni à moi pour l'aider, mais c'était sans compter sur des événements ressens.
Il y a de ça quatre mois, alors que j’aidais mon père qui confectionner une ceinture particulièrement compliquée, je vis un mouvement à la fenêtre.
C'était un détachement de soldats bontariens. Montés sur des dindes de couleur pourpre, ils arrivaient à une allure de sénateur et s'arrêtèrent devant notre maison.
Mon père s’avança à leurs rencontre pour savoir de se qu’il en retournait. Plus tard lorsqu’il revint, celui-ci nous apprit qu’il y avait eu une intrusion brakmarienne et que les soldats allaient réquisitionner leur maison. Du faite mon père ne put se rendre à la ville vendre son labeur et resta à la maison.
Les militaires restèrent trois semaines pour s’assurer qu’aucun brakmariens ne pourrait pénétrer en Amakana, et pendant tout se temps les commandes s'accumulaient et c’est ainsi qu’on du faire appel à tout la famille.

-Referme la bouche ma chérie, tu ressemble à un pichon fraîchement péché, et il me referma la bouche.
Je tendais mon regard à droit et à gauche, décidée à ne rien manquer du spectacle, ma tête pivotant comme une girouette, les boutiques se succédaient aux grandes maisons.
Soudain nous fûmes arrivées, la caravane s'arrêta sur la place du marché, juste à coté de la milice. Les gardes nous regardaient, allant jusqu'a proposer leurs aides pour décharger nos marchandises.

-Papa, je peux faire un tour, je reviens bientôt.
-Oui, tu peux même choisir un cadeau.
Et pendant tout le reste de mon après midi, je fis le tour de toutes les boutiques, mais il y en avait tilment.
Le soir venu je retourna la l'auberge ou nous avions loué nos chambres pour trois jours.
-Alors, tu as choisi ton cadeau ?
-Non, il y a tans de boutiques à visiter et je n'en ai pas visité la moitié.
-Rien ne presse, de notre cotée nous avons à peut près vendu moins des trois cinquième de nos articles.
Apres un copieux dîner je remonta dans ma chambre, et m'allongeais. Les lits étaient très confortables, et moi très fatiguée. Je m’endormis presque aussitôt.

Le lendemain je retournais à l'hôtel où l'on vendait des foulards et autres chapeaux, je me détournais d'une peau de bête morte -on aurait dis un bouftout crever dont on aurais coupé la tête pour en faire une coiffe- pour m'approcher d'un jolie foulard, puis repris mon chemin, il restait nombre de boutiques a visiter. Je fis un tour vers le boulanger, attirée par l‘odeurs de pain cuit, regardant les différentes friandises, m'écartant d'un étrange bonbon de trois couleurs différentes, rouge, bleu, et vert, qui semblais avoir pour principale ingrédient de ma gelée.
Finalement je pris une sucette qui me tien compagnie pendant un bout de temps.
En fin d'après midi j'arrivais devant un autre hôtel où s’entassaient toutes sortes d'animaux les plus bizarres les uns que les autre. Après avoir fait le tour des spécimens mon dévolu se jeta sur un petit oiseau, un tofus.
Le lendemain mon père acheta le tofus. Il me demanda plusieurs fois si j'étais sure de ce que je voulais. Mais je ne regrettais pas se choix, le tofus que je prénommais Ling se révéla un très bon compagnon de jeux. Et pendant nous quittions la grande citée je ne fis que m'amuser avec lui.

Deux jours plus tard, nous étions encore sur la route de la roche, mais l'aller qui avait été si ennuyeux, ne fut qu'une franche partie de rigolade avec Ling.
Le soir nous dressâmes le campement, les caravanes disposées en cercles autour d'un grand feu. Ce soir, pour fêter les bonnes ventes, mon père avait acheté du boufcool.
-Mange, me disait-il, mange.
Le boufcool s’avéra délicieux. Nous nous couchâmes bien après le soleil.
Je m'endormis aussitôt.

Des cris me réveillèrent, j'ouvris les yeux sur un vaste cauchemar, devant moi le camp était en feu, des gens se battaient, je cherchai mes parents, mais ne les vit nul part.
-Aux armes, une attaque de bandits, cria quelqu’un à ma droite.
Soudain je vis mon père, il se battait contre un soldat vêtu tout de rouge. Ma mère m'arrêta alors que je m’apprêtais à le rejoindre.
-File te cacher Fenrir-l, pendant se temps Papa et moi nous allons défendre la caravane.
Il se retourna aussitôt, sortie un poignard de sa manche et le jeta sur l'assaillant de papa qui s'écroula aussitôt. Une seconde plus tard il avait déjà ramasser un sabre sur un mort et se joignit dos a dos a papa. Mais le combat était inégal, et les caravaniers se battaient à un contre cinq.
-Va te cacher Fenrir-l, vite!
Je me précipitais vers le chariot le plus proche et me faufilais en dessous. De ma cachette je ne voyais plus rien eu combat, seul le fracas des armes et les cris des blessaient parvenais a mes orteils. Soudain je sentis quelque chose bouger dans ma veste. Je le sortie, mais se n'était que Ling. Il avais du s’y abriter pour se protéger du froid, et y retourna aussitôt.
Au fur et à mesure que le temps passait, le fracas des armes diminuait.
Soudain je vis un corps tomber devant moi et je poussais un cri. Aussitôt une main me sortit brusquement de ma cachette. Devant moi il n'y avait plus aucun caravanier, mais cinq des bandits se tenaient devant moi. Celui qui me tenait me jeta à terre et leva sa main armée d'un sabre ruisselant de sang. Alors qu'il l’abattait sur moi, il s'arrêta net, regarda sa poitrine dont dépassait une pointe de flèche. Immédiatement après j'entendis quatre sifflements fendre l'air et quatre bruit sourds. Et le reste des brigands s'écroulèrent face contre terre, tous avec une flèche dépassant de la poitrine. Dix mètres plus loin se tenait un homme, arc à la main. La silhouette se précipita sur moi et tout devient flou, je plongeai dans les brumes obscures du rêve.


-Et après, qu’est ce qui t'es arrivé.
Devant moi, je pouvais voir mon amie Sanglantte, il trépigne littéralement d'entendre la suite de mon aventure. C'était la première foi que je confiai mon histoire.
Je décide de pousser la torture un peux plus loin. Je saisi mon vert et prend un biscuit fourré au bouftout.
-Nous avons tout notre temps, ne te presse pas.
-Vite, ou sinon je vais me mettre en Furie.
Pour l'avoir déjà vu lancer se sort, je savais qu'il ne fallait pas prendre l’avertissement à la légère et j'évalue le degrés de dangerosité. Finalement je reprends mon récit.

-Alors, tu t'es enfin réveillé. Tu m’a fais une sacrée peur.
J'ouvris mes paupières, jute assez pour voir un homme au dessus de moi. Puis tout revient, la fête, l'attaque, les voleurs.
Je me redressais d'un seul coup.
-Et mes parents ! Y a-t-il a eu de survivants ?
Je fus prise de vertige et l'homme m'aida à me rallonger.
-Tu es la seule survivante. Je suis désolé.

J’entends un gros reniflement à ma droite, je tourne la tête pour voir Sanglantte en larme.
-Snif ! C'est trop triste.
-Hum, si je peux reprendre mon récit maintenant
Il parvient à articuler un « Oui » entre deux gémissements. Et je mit un point d'honneur à l'appeler Sanglot pendant une semaine, on verra bien si je serai toujours vivante après ça.

-Mais, qui êtes vous ?
-On m'appil Ewing. Je suis mercenaire.
-C'est vous qui m'avais sauvé ?
-Oui. A tu de la famille quelque part en Ankama?
-Non.
Finalement, il me prit sous ses ailes, m'enseigna le maniement des armes, le langage des animaux, pour moi il était un modèle, un second père. Grâce à ses cours, mon habilitée atteignit des sommets inégalés, il m'enseigna une nouvil façon de penser, de voir le monde. La modestie, l'entraide, la loyauté, le courage et l'honneur, la protection de faibles. Tout se qui fit de moi se que je suis aujourd’hui.

-Ha bon, il t'a surtout apprit l'avidité et la jalousie !
-Tsss.

Après que j’eu quittée Ewing, je me sentie seul et désemparée, j’errais seul dans Amakna, jusque à Il, c’est Il qui me recueillit, Il qui m’aida, c’est Il désormais que je protègerais. Astrub, la citée, où j’ai trouvé mes premiers amis, où mon aventure a commencée, pour de vrais.

Soudain je vois Ling arriver, il est accompagné d'un tofus, un parchemin dans le bec. Le tofus s'approche et me le temps. Je parcoure rapidement des yeux la missive puis je me lève et prend mon manteau.
-Hé, où va tu Fenrir-l. Te défile pas tu dois payer ta note !! Reviens tout de suite !
-Désoler, le devoir m'appil, ma guilde a besoin de moi, apparemment un groupe de brakmariens s'amusent un peux trop à Astrub, je revient bientôt une foi que notre chère ville aura retrouve son calme.
-Ha bon, mais tu fait quoi maintenant? Ne me dis pas que tu en es...
-Oui j’en fais partie.
Sur ce je jette mon manteau sur mes épaules, ramasse mon chapeau et siffle Ling qui vient se loger sur mon épaule. Tout en sortant je lance une petit bourse sur le comptoir.
Astrub j'arrive. Et je sortis, un sourire aux lèvres.


Alors voila mon texte qui a était mit et remit au point.
Comment j'ai connus la guilde Nouvil Lune?
Bas, je l'ai tout simplement vue, je n'avais jamais fais de RP avant, mais cette nouvil facon de voir le jeux, est très interessante. Et comme j'en ai marre des guildes Xx-Roxxor-xX ou bien Oo-Les roxxors infernaux de la mort qui tue-oO.
Sinon en réalité, je m'appil Tsiry, et oui un nom vachement bizard, j'ai 15 ans et j'abite au Mans.
Voila, voila .

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Cas'A'Blanca

Cas'A'Blanca


Messages : 109
Date d'inscription : 09/07/2010

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MessageSujet: Re: Nouvelle candidature    Nouvelle candidature  I_icon_minitimeLun 22 Aoû - 3:15

[ Candidature refusée pour mauvais comportement envers plusieurs membres. ]
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